Que ce soit des inconforts digestifs, des infections ou nez qui coule, rares sont les personnes préférant être malade qu’en santé.
Les causes d’agressions envers notre corps sont multiples : la pollution, les stress psychoémotionnels et des blocages articulaires n’en sont que quelques exemples. Face à un déséquilibre, le corps met en marche des mécanismes permettant la gestion des dégâts : les globules blancs, petits soldats du système immunitaire, sont les acteurs principaux. La majeure partie du temps, nous ignorons que notre corps est en mode alerte, car les problèmes surviennent à bas volume et nos petits combattants s’en occupe sans artillerie lourde. S’ils sont dépassés ou que l’attaquant est féroce, nous ressentirons divers inconforts, douleurs, symptômes nous obligeant à participer consciemment à la partie. Le repos, l’hydratation, les médicaments ou l’aide de nos intervenants en santé sont des types de supports auxquels nous faisons appel. Vous faites partie des gens qui préfèrent être en santé ? Voici, selon Dr Katis Kharrazian, la CLÉ pour un système immunitaire en santé : le sommeil. Allez au lit tôt et idéalement levez-vous quand votre corps s’est suffisamment reposé. Pendant que vous dormez, votre corps a le champ libre pour se réparer et faire l’entretien des lieux. De jour, il y a trop de sollicitations, de stimuli pour ça. Quand notre organisme est à jour dans son ménage, il devient beaucoup plus efficace dans ses tâches. Plus besoin d’enjamber la pile de linge sale ou le trou dans le plancher, la voie est libre. La prochaine fois que vous aurez le goût de visionner un épisode de plus de votre série préférée, demandez-vous si c’est vraiment nécessaire, et optez un dodo plus tôt. Vous bénéficierez d’une santé beaucoup plus optimale vous permettant de faire beaucoup d’autres choses. Allez, bonne nuit !
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Pourquoi encore et encore parler de la méditation et de l’entrainement de l’esprit ?
« Tous les bonheurs et toutes les souffrances peuvent se ramener à deux catégories : celle de l’esprit ou celle du corps. […] En revanche, l’esprit peut être affecté par les événements les plus insignifiants. Il est donc normal de faire davantage d’efforts pour apaiser son esprit que pour s’assurer le confort physique. » XIVe Dalaï-Lama – Voies spirituelles du bonheur, Presses du Châtelet, Paris, 2002, Le Seuil « Point Sagesse », 2004. Les chutes de neige ne sont pas terminées, mais les maux de dos reliés au pelletage peuvent l’être.
En plus du truc publié le 10 janvier 2018, de la flexion des genoux pour soulever des charges, pensez à entrer le nombril vers la colonne vertébrale quand vous utiliser votre pelle. De cette manière vous utiliserez vos abdominaux et soulagerez votre dos d’une surcharge de travail. Allez ! La charrue vient de passer. Les mouvements répétitifs et peu ergonomiques du pelletage de neige favorisent des blessures au dos. Pour éviter de débouler en urgence dans le bureau de votre ostéopathe, je vous suggère une légère modification que j’observe rarement : de changer de côté aux quatre pelletées. Vous répartirez les tensions musculaires équitablement et vous vous éviterez des blessures bêtes.
Une dernière chose, souriez quand vous pelleter, les blessures se font rarement quand nous sourions ! Partagez ce simple truc à vos ami(e)s. Bon hiver. Vous aimez les remèdes alternatifs pour vous soigner?
Saviez-vous que l’ail est un grand ami de votre système immunitaire ? Hé oui, il le rend plus fort pour combattre. Alors n’hésitez pas à ajouter le l’ail à vos repas, surtout lorsque vous avez été en contact avec des gens aux symptômes douteux. Si vous sentez un grattouillement dans la gorge ou simplement en prévention c’est une très bonne idée aussi. Certains n’aiment pas l’ail à cause de l’haleine qui s’en suit. Utilisez les capsules d’ail, elles sont très efficaces et ne laisse aucune mauvaise haleine ! Demandez-en à votre magasin d’aliments naturels et consommer selon vos besoins. Vous avez maintenant un truc pour passer au travers de l’hiver et des quintes de toux de vos collègues sans vous demander où sont vos mouchoirs ! Partagez cet article avec vos amis et collègues pour éviter qu’ils tombent malades. Ça, c’est encore plus efficace pour éloigner le rhume et le mal de gorge ! « […] si nous comprenons que chaque condition n’est ni bonne ni mauvaise, mais qu’elle est importante, nous avons alors plus d’espace pour ajuster ou modifier notre position afin d’être en mesure de travailler avec la situation qui s’offre à nous. »
Lama Jigmé Rinpoché, Un chemin de sagesse (RABSEL éditions) La méditation aide à développer cette position d’observateur permettant de vivre plus sereinement ce qui survient dans notre vie. Crédit photo : Piaxabay « Il s’agit de chercher et d’identifier la cause de cette contrariété. Est-ce l’orgueil, l’attachement, l’ignorance, la colère ? Essayons de mener cette observation avec précision et honnêteté parce que nos tendances nous poussent sans cesse à chercher des excuses. »
Lama Jigmé Rinpoché, Un chemin de sagesse (RABSEL éditions) Prendre le temps de s’arrêter face à une contrariété et d’humblement, honnêtement regarder derrière elle pour voir ce qui s’y trouve semble prendre beaucoup d’énergie, mais sur la distance, l’évitement est davantage énergivore. Qu’en pensez-vous ? Crédits photo : Pixabay Savez-vous quand votre cerveau vous est utile ? Quand vous lisez, parlez, marchez, digérez, utilisez vos cinq sens, vous remémorez des souvenirs ou quand vous faites des choix, la participation de votre cerveau est primordiale. En fait, toute activité que vous faites requiert la participation du cerveau.
De bonnes habitudes de vie sont un bon terrain pour une santé cérébrale, ceci n’est plus un secret. Toutefois, Dr Katis Kharrazian, spécialiste en neurologie fonctionnelle, explique que les entrainements de hautes intensités (type 7 minutes work-out) seraient parfaits pour équilibrer la chimie du cerveau. En fait, 4-5 minutes d’activité intense suffiraient pour augmenter la présence de BDNF au niveau du système nerveux central. Sans entrer dans les détails, le BDNF (Brain Derived Neurotrophic Factor) est une protéine aidant le cerveau à créer les nouvelles connexions entre vos neurones. Ce processus est appelé neuroplasticité. Il nous permet de développer, renforcer et faciliter nos aptitudes. Petite note pour les excessifs, au-delà de 4-5 minutes d’entrainement à haute intensité, les processus inflammatoires seraient favorisés donc diminution des effets bénéfiques. Ceci étant dit, l’activité physique prolongée garde ses lettres de noblesse. Ses effets sur la santé cardio-vasculaire, pulmonaire, digestive, immunitaire et musculo-squelettique ont fait leurs preuves. À chacun sa force, sa spécialité. À nous d’en faire bon usage. Pour savoir si vous faites une activité haute intensité, voici quelques indicatifs sur lesquels vous pourrez vous guider :
Exemples d’activités physiques haute intensité :
Je vous souhaite une bonne production de BDNF ! Photo by Jonathan Borba on Unsplash N.B. Respectez vos limites et consultez un intervenant en santé selon vos besoins. Certaines conditions médicales peuvent nécessiter des précautions. Parlez-en avec votre médecin c’est toujours plus sécuritaire. « La libération vient avec un changement de perception. »
Yongey Mingyur Rinpoché, In Love with the World (Spiegel & Grau) Simple en apparence. Par la méditation, je sème et entraine mon esprit à voir mes tendances. À ce moment, il n’en tient qu’à moi à prendre la décision. Pas toujours facile, mais toujours soulageant. Y aura-t-il une fin ? Non, bien évidemment, mais c’est un jeu que je joue avec moi-même et j’y suis gagnant à tout coup. Crédit photo : Pixabay Que ce soit des inconforts digestifs, des infections ou nez qui coule, rares sont les personnes préférant être malade qu’en santé.
Les causes d’agressions envers notre corps sont multiples : la pollution, les stress psychoémotionnels et des blocages articulaires n’en sont que quelques exemples. Face à un déséquilibre, le corps met en marche des mécanismes permettant la gestion des dégâts : les globules blancs, petits soldats du système immunitaire, sont les acteurs principaux. La majeure partie du temps, nous ignorons que notre corps est en mode alerte, car les problèmes surviennent à bas volume et nos petits combattants s’en occupe sans artillerie lourde. S’ils sont dépassés ou que l’attaquant est féroce, nous ressentirons divers inconforts, douleurs, symptômes nous obligeant à participer consciemment à la partie. Le repos, l’hydratation, les médicaments ou l’aide de nos intervenants en santé sont des types de supports auxquels nous faisons appel. Vous faites partie des gens qui préfèrent être en santé ? Voici, selon Dr Katis Kharrazian, la CLÉ pour un système immunitaire en santé : le sommeil. Allez au lit tôt et idéalement levez-vous quand votre corps s’est suffisamment reposé. Pendant que vous dormez, votre corps a le champ libre pour se réparer et faire l’entretien des lieux. De jour, il y a trop de sollicitations, de stimuli pour ça. Quand notre organisme est à jour dans son ménage, il devient beaucoup plus efficace dans ses tâches. Plus besoin d’enjamber la pile de linge sale ou le trou dans le plancher, la voie est libre. La prochaine fois que vous aurez le goût de visionner un épisode de plus de votre série préférée, demandez-vous si c’est vraiment nécessaire, et optez un dodo plus tôt. Vous bénéficierez d’une santé beaucoup plus optimale vous permettant de faire beaucoup d’autres choses. Allez, bonne nuit ! Photo by Simon Matzinger on Unsplash |
Samuel ostéoUn ostéopathe soucieux d'informer ses patients sur différents éléments de la santé et sur son propre parcours. Catégories
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