Les engourdissements des bras peuvent gêner le sommeil en réveillant celui ou celle qui en est atteint, obliger des changements de position de travail fréquents ou même forcer des modifications d’habitudes allant jusqu’à réduire des activités normalement bénéfiques pour la santé comme la marche ou la pratique sportive. Pourquoi les engourdissements surviennent-ils ? Vous pouvez vous douter que les causes sont assez variées. Voici deux exemples : la pratique de sport ou des postures de travail statiques prolongées peuvent entretenir une tension musculaire qui viendra appuyer contre les vaisseaux sanguins de votre bras et ainsi bloquer la libre circulation du sang. Comme lorsque vous vous relevez d’une position où vous étiez assis sur une de vos jambes pendant trop longtemps ; il est possible également que l’engourdissement soit survenu après une chute ou un accident. Dans ce cas, des désalignements articulaires pourraient être responsables. Notez que les symptômes apparaissent souvent plusieurs semaines voire mois après un incident. C’est pourquoi leur présence nous semble parfois inexpliquée. Que peut-on faire lors d’engourdissements ? Commencez à vous étirer. La semaine prochaine, je vous partage un étirement précis pour ce problème. D’ici là, je vous encourage à intégrer celui du grand pectoral de façon quotidienne. Invitez vos amis à faire ces étirements. Ils sont excellents en prévention ! Tous ceux qui ont déjà été aux prises avec une telle gêne savent que c’est peu d’investissement pour beaucoup de confort. Certaines conditions médicales peuvent nécessiter des précautions. Parlez-en avec votre médecin ou vérifiez avec votre pharmacien, c’est toujours plus sécuritaire. Calmer l’esprit est souvent le but de la pratique de la méditation. Dans certaines périodes de notre vie, s’assoir pour méditer peut être plus ardu. Voici un truc pour vous aider à développer votre calme mental sans, à proprement dit, méditer. Un élément générateur d’hyper activité mentale serait, selon l’étude de Besken et Miri (2017), le mensonge. Avez-vous observé combien il est relaxant de dire la vérité ? Le corps est relâché. L’esprit n’a qu’à aller vers l’avant, sans s’embourber dans un tumulte de regrets, de jugements ou de fausses idées. Le mensonge destiné aux gens que l’on croise est une source évidente de tourments. Par contre, avez-vous déjà songé ou analysé ceux que vous vous racontez à vous même ? Portez-y une attention particulière et tranquillement, tentez l’honnêteté. Ceci ne veut pas dire d’être méchant ou mal intentionné, seulement honnête et souriant face à ce qui est. Simplement. C’est ça aussi l’atteinte d’un calme mental. De toute façon, ne trouvez-vous pas que la réalité est bien assez stimulante pour tenter d’ajouter une couche supplémentaire, fausse de surcroit ? Qu’en pensez-vous ? Besken et Miri (2017). Generating Lies Produces Lower Memory Predictions and Higher Memory Performance Than Telling the Truth: Evidence for a Metacognitive Illusion. Journal of experimental psychology: Learning, memory and cognition |
Samuel ostéoUn ostéopathe soucieux d'informer ses patients sur différents éléments de la santé et sur son propre parcours. Catégories
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