Comme vous l’aurez compris, l’article sur la lecture des calories était une première étape pour s’initier à la lecture de la valeur nutritionnelle des aliments que vous achetez. Dans cette deuxième partie, je vous invite à considérer sérieusement l’apport en glucides.
 
Les glucides sont la source principale d’énergie de notre corps. Il en a donc besoin. Le sucre est un des ingrédients qui constitue l’apport glucidique. Toutefois, sans rien vous apprendre, le sucre est beaucoup trop présent dans notre alimentation (un article s’en vient sur le sucre…). Voici une piste qui, je l’espère, vous aidera à faire des choix plus éclairés.
 
Vous avez remarqué que dans la section glucides du tableau de valeurs nutritionnelles d’un produit, les fibres sont au côté du sucre ? Pour moi, ce fut longtemps un mystère. Ce qu’il faut comprendre c’est que les fibres sont des sucres complexes, donc des glucides. Par contre, ils n’ont pas les effets néfastes du sucre raffiné. Avoir ce dont j’ai besoin en minimisant les conséquences ? Quelle bonne idée ! C’est là que réside ma motivation à respecter autant que possible le ratio d’au minimum 1g de fibre par 5g de sucre.

Où sont les fibres ? Les céréales (riz, quinoa, avoine, épeautre, gruau), dans les graines de lin ou de chia (moulue, ça aide à l'absorption).
 
Si vous voulez en savoir plus tout de suite, n’hésitez pas à consulter une nutritionniste. Personnellement, j’ai bien aimé les informations transmises par Anne-Marie Roy de La Clinique Renversante.
 
Partagez cet article ! Vous avez surement quelqu’un dans votre entourage qui consomme un peu trop de glucides. ;)
 
 
Certaines conditions médicales peuvent nécessiter des précautions. Parlez-en avec votre médecin ou vérifie auprès de votre pharmacien, c’est toujours plus sécuritaire.

​​Comment va votre relation avec votre égo ?
 
Pour ma part, j’avoue avoir une relation très inégale avec lui. Un genre de relation bipolaire, hihi. Parfois beaucoup trop présent, d’autres fois, plus discret, ce serait prétentieux de ma part de penser réussir à l’éliminer totalement un jour. Tout ce que je peux vous dire c’est que j’essaie de l’entretenir le moi possible. Mais quand j’y arrive, je me sens vraiment léger. Autrement, mes idées ne sont pas claires.
 
Si ce sujet vous intéresse, le livre Nouvelle terre de Eckart Tolle est une petite merveille. De belles réflexions s’y retrouvent, tout bien ficelées les unes autres sans lourdeurs ni tons moralisateurs. Tout est en place pour le lecteur curieux d’explorer le sujet de l’égo ou celui qui veut seulement le survoler. Moi j’ai choisi la lecture lente et attentive. Elle répond mieux à mes attentes.
 
Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?
 
Quelles sont vos autres lectures inspirantes ?

C’est toujours un plaisir de parler d’une entorse lombaire au passé n’est-ce pas ? Que vous choisissiez de prendre ou non la médication prescrite lors d’un diagnostic d’entorse lombaire, une consultation en ostéopathie pourra vous être d’une très grande aide une fois qu'elle est stabilisée.
 
Comme vous le savez, le corps n’est pas constitué uniquement d’os et de muscles. Une des forces des ostéopathes est de connaître l’anatomie en profondeur. De plus, nous prenons en considération votre corps dans son ensemble. C’est par ces stratégies que nous ciblons la raison à l’origine de votre entorse lombaire et ensuite nous vous aidons à vous départir des tensions silencieuses résiduelles.
 
Combien de consultations seront nécessaires ? Beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte. Un des plus importants est : combien de temps avez-vous eu cette douleur ? Plus vous attendez avant de consulter un professionnel de la santé, plus il y a de chances que le travail nécessite quelques rendez-vous. Votre implication dans l’application des exercices ou des étirements donnés après le soin aidera aussi à maintenir votre santé et votre mobilité.
 
Petit conseil en terminant, en cas d’entorse lombaire, n’attendez pas avant de consulter. C’est tout à votre avantage.
 
Au plaisir de vous savoir en santé.
 
Samuel
 
Certaines conditions médicales peuvent nécessiter des précautions. Parlez-en avec votre médecin ou vérifiez avec votre pharmacien, c’est toujours plus sécuritaire.
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​Malgré vos efforts, vos idées continuent à vous rendre anxieux ? La méditation vous intrigue ?  Vous pensez que vous n’avez pas assez d’expérience pour méditer ? Continuons l’exploration déjà débutée dans quelques articles déjà publiés.
 
L’idée répandue qu’une séance de méditation se fait uniquement assise dans la position du tailleur est bien tenace. Parfois, elle fait peur. Surtout quand on ajoute l’immobilité ! Si tel en est votre vision, je vous invite à la modifier. Le but de la méditation étant de s’investir (soi-même), la forme que l’on utilise peut prendre plusieurs formats.
 
Ici, je vous suggère d’essayer la marche consciente. Le principe est très simple, marchez comme vous le faites si bien, mais soyez attentif à ce qui se passe. Cela vous permettra de vous connecter à son corps dans une activité des plus accessibles, à l’insu de tous si tel est votre désir. Voici quelques suggestions sur lesquelles vous pourriez porter votre attention :
 

• Ballant de vos bras
• Le contact de vos pieds au sol
• Comment votre poids se répartit du talon aux orteils
• Le déroulé de votre pied
• La flexion de vos genoux
• Laissez-vous inspirer, c’est votre méditation après tout !!

 
Afin de vous permettre de développer votre attention, vous pourriez réduire votre vitesse de marche. Cela vous donnera le temps de vous concentrer aux différentes sensations qui se présenteront.
 
Et voilà ! Que vous marchiez pour vos déplacements ou à la maison, la marche consciente s’intègre facilement. Le fait de se concentrer sur vos sensations vous aidera à ralentir le flot de vos pensées. À vous de décider si vous le faites tous les jours 5 minutes sur votre heure de diner ou 15 minutes trois fois semaine. Le temps et la fréquence sont vraiment à votre discrétion. Évidemment plus la fréquence est élevée, plus les effets sont perçus.
 
Trouvez-vous un ami avec qui échanger vos observations ou même partagez l’activité. J’aimerais bien savoir comment vous vivez ces expérimentations.
 
Je vous souhaite une belle marche active.