​Saviez-vous qu’une commotion cérébrale ne nécessite pas automatiquement de coups directs à la tête ? Certains mouvements brusques (coup du lapin ou whiplash) ou mauvaises chutes sur les fesses pourraient être à l’origine de ce type de blessure.
 
Comment suspecter une commotion cérébrale ? Consultez cet article.
 
Suite à une commotion cérébrale, il est important d’aller consulter un médecin et de prendre rendez-vous avec votre ostéopathe une fois les symptômes terminés. Pourquoi ? Il est important d’avoir une équipe de professionnels qui nous aide à bien prendre soin de notre cerveau et de laisser toutes les chances à celui-ci de guérir.
 
Lors de l’événement qui a créé la commotion cérébrale, des muscles, des articulations et des os peuvent avoir été affectés (accident, mouvement brusque avec ou sans impact).
 
Le médecin jugera de la gravité de votre situation et vous fera passer des tests selon ce qu’il découvre.
 
Votre ostéopathe évaluera l’état de vos muscles, de vos articulations et des os de votre crâne pour vous aider à continuer votre remise sur pied.
 
Vous avez des questions ? Parlez-en à votre ostéopathe. Il saura répondre à vos interrogations.
 
Faites circuler l’information. C’est tout de même du cerveau dont il est question.

Vous connaissez quelqu’un qui subit du stress ? C’est connu, la méditation joue un rôle énorme dans la gestion du stress. Saviez-vous que l’activité physique aussi ?
 
Le psychiatre John J. Ratey MD en parle en long et en large dans son merveilleux livre SPARK. Selon lui, « plus vous vivez de stress, plus votre corps a besoin de bouger afin de maintenir votre cerveau en santé. » L’activité physique permet à votre cerveau, et à tout votre corps de maintenir un équilibre face aux différents effets néfastes que peut engendrer le stress.
 
La fatigue chronique, l’arthrite et les troubles du système immunitaire seraient, toujours selon Ratey, intimement reliés au stress et au manque d’activité physique. Une panoplie d’autres symptômes seront amplifiés par le manque d’exercice.
 
Qu’est-ce qu’il faut faire ?

Si vous êtes du type sédentaire, il vous suffit de vous lever de votre chaise et d’aller marcher 30 minutes 3 fois par semaine. Rapidement, vous ressentirez des effets positifs (énergie, concentration, bonne humeur, etc.). Si vous ne sentez pas votre rythme cardiaque augmenter durant votre activité, choisissez une activité plus exigeante (marche nordique, vélo, course, elliptique, etc.). Le plus important, choisissez une activité qui vous fait plaisir. Les effets seront plus grands et l’habitude plus facile à maintenir.
 
Le plus difficile est généralement de se mettre en route. Vous en êtes capable ! Vous êtes découragés ? Motivez-vous avec ce que vous en tirerez.
 
Partagez avec votre entourage. Vous pourrez par la même occasion vous trouver quelqu’un avec qui bouger J.
 
Ah oui ! J’oubliais. Après votre activité, visitez la  section étirements pour ne pas oublier pas vos étirements !
 
Référence :
Ratey, J. J. (2008). Spark : the revolutionary new science of exercise and the brain. Little Brown.