​Au mois de novembre je vous partageais qu’il était suggéré de prendre des suppléments de vitamine D durant l’hiver afin de s’assurer d’avoir le bon dosage. Pour ceux qui prennent encore leur 2000 UI quotidiennes, vous pouvez arrêter.
 
Entre avril et octobre, assurez-vous d’exposez votre peau (mains, avant-bras et visage) sans écran solaire pendant 10 à 15 minutes, entre 11h et 14h, et ce 2-3 fois semaine, et vous aurez comblé 80% à 90% de vos besoins.
 
Je vous souhaite de bons bains de soleil :)

​Êtes-vous bien assis ?
 
Notre mode de vie favorise la position assise plus souvent qu’autre chose. Si vous n’avez pas accès à des stations de travail debout ou actives, il serait préférable de porter une attention particulière à la posture sur votre chaise.
 
Assurez-vous que votre lordose lombaire (concavité/creux des vertèbres du bas du dos) est maintenue. Elle est possible uniquement si les fesses sont sorties vers l’arrière. Une fois qu’elles sont positionnées, le reste de la colonne vertébrale se placera naturellement. Maintenant, le défi est de garder cette position pendant le travail.
 
Voici le truc que je suggère :

• Procurez-vous une débarbouillette ou une serviette à main (la grosseur va dépendre de l’espace à combler)
• Faites-en un rouleau
• Asseyez-vous les fesses bien au fond de l’assise de la chaise, en contact avec le dossier
• Déposez le rouleau à l’horizontale, à la hauteur de la ceinture, dans le coin formé du dossier et de vos fesses (Attn de ne pas être au niveau des vertèbres lombaires)
• Redressez-vous. Vous verrez que votre bassin est solide et que votre posture est facile à maintenir
• Commencez votre journée de travail !

 
Le rouleau limitera la bascule du bassin qui, normalement, amène la posture dite « assise sur les reins ». Un inconfort peut apparaitre les premières fois. Faites des pauses de rouleau à l’occasion. Vous sentirez que votre dos est plus reposé à la fin de la journée.
 
N’hésitez pas à partager cet article. Il pourrait aider à prévenir de gros maux de dos.

​Dans la même lancée que l’article du 7 mars 2018, cultiver le calme mental se solidifie au travers de la méditation, mais aussi dans votre quotidien comme faire le choix de vivre dans un environnement paisible.
 
Avez-vous déjà expérimenté le choc du retour en ville après des vacances reposantes ? Moi j’en ressens inévitablement les écarts. Les stimuli urbains (bruits, odeurs, lumières, etc.), la rapidité des voitures, les images publicitaires qui clignotent, sans oublier le rythme effréné des gens que nous côtoyons (auquel je participe, mea culpa…).
 
Il est intéressant d’observer les stimuli auxquels l’on s’expose et de faire des choix sur ceux que nous voulons et ceux à écarter. La décision de préserver certaines stimulations sur des périodes déterminées (courtes, intermittentes, jours de la semaine) peut être une bonne alternative. D’autres fois, l’éradication ferme et complète est la solution. C’est à chacun de prendre le temps de sentir l’effet de calme s’installer selon les choix et de s’y tenir.
 
Voici quelques perturbants communs :
 

• Le désordre à la maison
• Écouter le bulletin de nouvelles
• Les films ou séries
• Écrans à lumière bleue
• Certaines relations interpersonnelles

 
Ceux-ci ne sont que des exemples. D’autres trouveront que de décider à l’avance leurs menus de la semaine inspire un calme mental. Profitez du temps devenu disponible pour prendre un livre, regarder la nature ou simplement vous reposez, seul. Peut-être le goût de la méditation se développera-t-il !
 
Vous, quel choix trouvez le plus aidant ? De mon côté, réduire le temps sur les réseaux sociaux donne toujours son effet.