Dans la même lancée que l’article du 7 mars 2018, cultiver le calme mental se solidifie au travers de la méditation, mais aussi dans votre quotidien comme faire le choix de vivre dans un environnement paisible. Avez-vous déjà expérimenté le choc du retour en ville après des vacances reposantes ? Moi j’en ressens inévitablement les écarts. Les stimuli urbains (bruits, odeurs, lumières, etc.), la rapidité des voitures, les images publicitaires qui clignotent, sans oublier le rythme effréné des gens que nous côtoyons (auquel je participe, mea culpa…). Il est intéressant d’observer les stimuli auxquels l’on s’expose et de faire des choix sur ceux que nous voulons et ceux à écarter. La décision de préserver certaines stimulations sur des périodes déterminées (courtes, intermittentes, jours de la semaine) peut être une bonne alternative. D’autres fois, l’éradication ferme et complète est la solution. C’est à chacun de prendre le temps de sentir l’effet de calme s’installer selon les choix et de s’y tenir. Voici quelques perturbants communs :
Ceux-ci ne sont que des exemples. D’autres trouveront que de décider à l’avance leurs menus de la semaine inspire un calme mental. Profitez du temps devenu disponible pour prendre un livre, regarder la nature ou simplement vous reposez, seul. Peut-être le goût de la méditation se développera-t-il ! Vous, quel choix trouvez le plus aidant ? De mon côté, réduire le temps sur les réseaux sociaux donne toujours son effet.
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Samuel ostéoUn ostéopathe soucieux d'informer ses patients sur différents éléments de la santé et sur son propre parcours. Catégories
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