Vous ressentez des douleurs sourdes dans la région tibiale ? Elles persistent généralement pendant 3-4 jours après votre activité physique, et ce même si vous êtes au repos ou appliquez de la glace ? Vous avez de bonnes chances d’être aux prises d’une inflammation au niveau du périoste (petite peau collée sur l’os) de votre tibia. N’hésitez pas à consulter votre médecin pour un diagnostic spécifique. Une visite chez votre ostéopathe serait également un bel investissement. Vous verrez que la récupération en sera grandement accélérée.
Mon travail d’ostéopathe consiste à vous aidez à éviter l'apparition de douleur et à vous faire des suggestions pour que vous puissiez rester en santé. Avec le truc que je vous partagerai la semaine prochaine, vous serez en mesure de mieux gérer ce type de situation.
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Avoir une bonne santé et une hygiène buccale c’est primordial. Je ne vous apprends rien en vous disant que votre dentiste est la personne à consulter. Toutefois, je suggère régulièrement aux gens qui prennent rendez-vous de coordonner leur visite en ostéopathie APRÈS un nettoyage ou une réparation chez le dentiste. Cette idée d’organiser la consultation chez le dentiste avant celle en ostéopathie permettra à votre ostéopathe de « nettoyer » les tensions asymptômatiques et les désalignements qui se sont installés lors du traitement dentaire avant même qu’ils se fassent sentir de façon gênante. Parlez-en avec votre ostéopathe. Il saura vous éclairer davantage sur la situation. C’est typique, en cette saison, plusieurs ont des douleurs aux hanches, des crampes aux mollets, une sensation de point au niveau du talon (que plusieurs qualifient d’Épine de Lenoir). Une des raisons possibles de ces symptômes est le changement du style de chaussures portées : les gougounes. Pour les maintenir dans nos pieds, nous travaillons différemment avec la musculature des pieds et cela peut amener une augmentation des tensions et des déséquilibres posturaux. La semaine prochaine je vous donne un truc, sur vidéo, qui vous fera le plus grand bien. Vous avez des ami(e)s qui ont ce genre de plaintes ? Partagez-leur l’information. Voilà le soleil et la chaleur qui arrivent. La saison des sports extérieurs est pour certains déjà débutée et pour d’autres il ne reste plus que quelques dodos. Le changement d’activité accompagnant le passage vers l’été est parfois abrupt pour le corps. Même si l’habitude de bouger a été maintenue en salle d’entrainement durant l’hiver, des douleurs de début de saison se pointent régulièrement le bout du nez. (Par exemple, la course sur l’asphalte ou le gazon n’ont pas les mêmes répercussions sur le corps que le tapis roulant.) Faites vos étirements pour aider votre corps, il aura plus de facilité à s’adapter à vos besoins et vous profiterez de l’été pleinement. Partagez l’information à vos coéquipiers. Ça aussi c’est du travail d’équipe ! Bonne bougeotte ! Êtes-vous bien assis ? Notre mode de vie favorise la position assise plus souvent qu’autre chose. Si vous n’avez pas accès à des stations de travail debout ou actives, il serait préférable de porter une attention particulière à la posture sur votre chaise. Assurez-vous que votre lordose lombaire (concavité/creux des vertèbres du bas du dos) est maintenue. Elle est possible uniquement si les fesses sont sorties vers l’arrière. Une fois qu’elles sont positionnées, le reste de la colonne vertébrale se placera naturellement. Maintenant, le défi est de garder cette position pendant le travail. Voici le truc que je suggère :
Le rouleau limitera la bascule du bassin qui, normalement, amène la posture dite « assise sur les reins ». Un inconfort peut apparaitre les premières fois. Faites des pauses de rouleau à l’occasion. Vous sentirez que votre dos est plus reposé à la fin de la journée. N’hésitez pas à partager cet article. Il pourrait aider à prévenir de gros maux de dos. Les engourdissements des bras peuvent gêner le sommeil en réveillant celui ou celle qui en est atteint, obliger des changements de position de travail fréquents ou même forcer des modifications d’habitudes allant jusqu’à réduire des activités normalement bénéfiques pour la santé comme la marche ou la pratique sportive. Pourquoi les engourdissements surviennent-ils ? Vous pouvez vous douter que les causes sont assez variées. Voici deux exemples : la pratique de sport ou des postures de travail statiques prolongées peuvent entretenir une tension musculaire qui viendra appuyer contre les vaisseaux sanguins de votre bras et ainsi bloquer la libre circulation du sang. Comme lorsque vous vous relevez d’une position où vous étiez assis sur une de vos jambes pendant trop longtemps ; il est possible également que l’engourdissement soit survenu après une chute ou un accident. Dans ce cas, des désalignements articulaires pourraient être responsables. Notez que les symptômes apparaissent souvent plusieurs semaines voire mois après un incident. C’est pourquoi leur présence nous semble parfois inexpliquée. Que peut-on faire lors d’engourdissements ? Commencez à vous étirer. La semaine prochaine, je vous partage un étirement précis pour ce problème. D’ici là, je vous encourage à intégrer celui du grand pectoral de façon quotidienne. Invitez vos amis à faire ces étirements. Ils sont excellents en prévention ! Tous ceux qui ont déjà été aux prises avec une telle gêne savent que c’est peu d’investissement pour beaucoup de confort. Certaines conditions médicales peuvent nécessiter des précautions. Parlez-en avec votre médecin ou vérifiez avec votre pharmacien, c’est toujours plus sécuritaire. Vous avez le souffle court ? Une sensation de boule à l’arrière du sternum ? Votre inspiration est difficile ? Voici quelques éléments pouvant être à l’origine de ces inconforts. La posture joue un rôle très important dans notre capacité respiratoire. Être assis, épaules enroulées vers l’avant, favorisent « l’écrasement » de la cage thoracique, donc des poumons. Vous souvenez-vous de la posture caractéristique de Gaston Lagaffe, le héros de bande dessinée ? Là aussi, nous parlons d’une posture à éviter. Notre posture est influencée par nos activités quotidiennes et nos (trop souvent) mauvaises habitudes. Par contre, les limitations et les compensations présentent dans notre corps ont, elles aussi, un rôle à jouer. Dans le cas d’un souffle court, nous pouvons penser que certains muscles respiratoires seraient « rétrécis » (diaphragme, intercostaux, etc.) ou que les côtes, importantes dans la mécanique respiratoire, seraient bloquées avec les vertèbres ou le sternum. Ces dysfonctions sont souvent imperceptibles, car ils s’installent sur une longue période de temps. Cela dit, leur présence n’est pas souhaitable. Quoi faire dans une telle situation ? Il est possible et généralement assez simple de récupérer la liberté perdue de vos muscles respiratoires. La semaine prochaine, un petit exercice pour délier votre diaphragme. Essayez-le ! Vous verrez qu’une posture équilibrée est plus facile à maintenir ensuite. Voyez comme il est simple et bon de respirer. P.S. Nos émotions, stress et anxiété jouent un rôle énorme dans l’amplitude respiratoire, mais ce sera pour un autre article... Certaines conditions médicales peuvent nécessiter des précautions. Parlez-en avec votre médecin ou vérifiez avec votre pharmacien, c’est toujours plus sécuritaire. Un goût acide en bouche ou une sensation de type « brûlure » dans la gorge porte à croire que vous faites possiblement du reflux gastrique (reflux gastro-œsophagien).
Il y a une porte musculaire entre l’œsophage et l’estomac assurant l’étanchéité de l’estomac. Quand il y a sensation de brûlure, c’est qu’il y a une perte d’étanchéité de la porte et l’acide gastrique (liquide dans l’estomac) vient en contact avec l’œsophage. Ce dernier n’est pas construit pour recevoir un liquide acide. Il risque donc de s’abimer. La hernie hiatale, le surpoids et l’alimentation sont quelques-unes des raisons à l’origine de la présence de reflux gastriques. La hernie hiatale est une malformation anatomique qui signifie que l’estomac est remonté partiellement dans la cage thoracique. Notez que le reflux n’est pas automatique en présence d’une hernie hiatale. Une alimentation riche en fibres, faible en gras, abondante en petits fruits et en légumes (rouges, oranges et verts de préférence) favorisera, entre autres choses, la diminution de reflux gastriques. Vous pourrez peut-être même diminuer votre fréquence d’utilisation d’antiacide. Sachez que les antiacides sont une bonne solution, mais qu’ils ne sont pas toujours LA solution miracle. Dr Greger illustre, par le partage d’études, que dans certains cas, lors d’utilisation à long terme d’antiacides, il y aurait une diminution d’absorption de certains nutriments importants. La modification de certaines de nos habitudes serait donc à prioriser. Parlez-en avec votre médecin si vous avez des doutes. Vidéo intéressant sur le sujet : https://nutritionfacts.org/video/diet-and-gerd-acid-reflux-heartburn/ Certaines conditions médicales peuvent nécessiter des précautions. Parlez-en avec votre médecin ou vérifiez avec votre pharmacien, c’est toujours plus sécuritaire. |
Samuel ostéoUn ostéopathe soucieux d'informer ses patients sur différents éléments de la santé et sur son propre parcours. Catégories
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